Les progiciels de Corporate Performance Management (CPM) regroupent des processus, des méthodes, des indicateurs et des mécanismes qui permettent de mesurer et d’appréhender la performance financière d’une organisation, via la consolidation, le reporting, l’analyse et la planification budgétaire.
Il existe logiquement autant d’indicateurs quantifiables qu’il existe de modèles organisationnels. Toutefois, comme le révèle une étude de CXP réalisée auprès de 200 DSI, 43% des responsables IT placent la satisfaction des utilisateurs, et donc des métiers, comme l’indicateur premier, devant la mesure par les coûts qui généralement s’apparente à faire plus avec un budget équivalent - voire réduit. Là est l’évaluation de l’efficacité d’un pilotage.
Dans cet article, CXP | teknowlogy traite de la manière dont l’utilisation d’un catalogue de données peut traiter vos données. En effet, structurer des données représente un enjeu majeur à l'heure où les entreprises génèrent d'énormes volumes de données.
Dans sa plateforme myCXP, CXP s’intéresse de près au phénomène historique de l’alignement de l’IT sur les métiers et à la façon dont les DSI parviennent à installer une gouvernance de services IT dans un monde devenu très digital et très changeant. Si le sujet de la gouvernance IT est vaste, jonché de bonnes pratiques et de référentiels, l’intérêt semble ici de pouvoir créer ses propres modèles et non de calquer des pratiques prédéfinies qui ne seraient pas adaptées ni personnalisées. Notre point de vue est que l’ITSM et le BPM proposent un champ fonctionnel capable de répondre à ces enjeux. Voici comment. La numérisation des processus et la poussée en avant du numérique dans les modèles économiques des entreprises ont eu un effet collatéral : une évolution de la gouvernance de l’IT. Dans un contexte marqué par une ouverture des SI, par l’extension des écosystèmes, de leur intégration et d’un besoin omniprésent des métiers,…
Devenir agile. C'est tout l'enjeu des responsables IT et des équipes informatiques à l'heure de la numérisation massive des processus. Avec des demandes toujours plus pressantes des métiers, avoir la capacité de répondre favorablement à leur desiderata, et en un temps record, tient de l'exploit, tant d'un point de vue IT pure (Infrastructure, architecture, application) qu'organisationnel. Il devient nécessaire d'avoir une cartographie précise de son SI et d'y appliquer les bons modèles de gouvernance pour y parvenir. Une façon d'industrialiser un centre de services IT. La gouvernance de l'IT étant un sujet transversal, nous avons fait le choix de prendre les prismes de plusieurs technologies. Ce webinaire, qui s'est tenu le 9 mars 2021, aborde le sujet à travers de : l'ITSM, coeur du réacteur quand on évoque le thème de la gouvernance IT, le BPM, technologie clé de l'interconnexion de services, le Cloud , devenu clé pour toutes entreprises souhaitant…
Le poste de travail numérique des agents du secteur public français constitue l’un des gros chantiers de la Direction Interministériel du Numérique (DINUM), a expliqué Nadi Bou Hanna, directeur interministériel du numérique, dans un entretien publié sur le blog de plateforme SITSI (teknowlogy Group)...
Chez SAP, la fin de l’année 2020 aura été marquée par une prise de position claire en matière de No Code / Low code, un des secteurs les plus dynamiques du marché de l’IT. Les plateformes No Code / Low Code proposent des studios de développement d’applications, de gestion de projet, d’intégration et de gestion du cycle de vie des applications, avec une forte composante graphique qui réduit, ou évite, l’écriture de lignes de code. Séduire, et aussi convertir, les très populaires « citizen developers » est devenu très répandu chez les éditeurs de solutions d’entreprise. Ces profils sont en fait des utilisateurs métier ayant suffisamment d’autonomie pour concevoir eux-mêmes leurs applications et répondre au mieux à leurs processus. C’est ainsi la cible première des outils dits No Code, dont l’objectif est de proposer des possibilités de paramétrages de processus, plus que de développement pur, pour créer une application généralement simple.…
Connaissez-vous le projet"Aixploration" de la SNCF mené à la gare d'Aix-en-Provence, les travaux autour de l'IA entamés par La Poste ou encore la stratégie Cloud des banques françaises ? Pas un secteur industriel en France n'échappe aujourd'hui à la transformation numérique, à la fois des processus métier et des modèles en place. Et qui dit numérique, dit forcément investissements IT.
Structurer les données quand celles-ci deviennent incontrôlables : c’est la fonction que doit remplir un catalogue de données, à l’heure où les entreprises brassent et génèrent des volumes pharaoniques de données. Quitte parfois à s’y perdre. En proposant de redonner du sens à des Data Lakes et en centralisant toutes les sources de données des entreprises, ces catalogues structurent le non structuré et créent un nouveau canal de communication entre les données et les métiers. Avec le rôle central des données dans les stratégies de transformation numérique, les cas d’usage liés à la gouvernance des données ne peuvent plus être seulement limités à la conformité ou à l’audit. Les entreprises et les DSI doivent désormais avoir une vue à 360° de leur patrimoine informationnel et doivent pour cela composer avec des données stockées dans des systèmes de plus en plus distribués. Dans un environnement où les données et les applications sont…
Méthodique : c’est l’approche que toute entreprise devrait avoir lorsqu’il s’agit d’entamer une migration, totale ou partielle, des applications vers le Cloud. Déplacer ses traitements et services vers une telle infrastructure nécessite de planifier chacune des étapes afin de minimiser les risques et d’éviter la sensation d’échec et de désillusion. Le Cloud représente en effet l’un des moteurs de la transformation pour les entreprises. En France, il constitue même une priorité en matière de dépenses IT, au côté de la cyber-sécurité, de l’Analytics, de l’IA, de l’automatisation et de la transformation de l’expérience des clients. Ainsi, 57% des entreprises françaises interrogées par teknowlogy (Cxo Survey, France) jugent le Cloud comme un élément « important et très important » en matière de dépenses. 35% prévoient même d’y consacrer un budget plus conséquent dans les deux prochaines années. L’heure est donc à structurer l’effort de migration. Parmi les étapes clés à suivre dans un tel projet,…